Be my guest, blind fold me
Chers Lecteurs,
Qu'il est rare, n'est-ce pas, de me voir écrire un article de si bonne heure. A défaut d'avoir été réveillée par le doux "cocoricoo" d'une volaille, c'est le son charment des marteaux-piqueurs qui ont eu le soin de me tirer hors du sommeil. Entre autre chose. C'est également une colère profonde, de celle qui nous broie le coeur et nous fige la mâchoire, qui m'empêche de me rendormir ce matin.
Nous sommes six miliards à se partager cette petite planète bleue. Certains ont du mal à cohabiter avec les alcooliques, les pédophiles, les éternels insatisfaits. Pour ma part, j'enverrai bien faire un tour sur Saturne les hypocrites manipulateurs (ou -trices ? hun, hun). De ceux qui ont passé un Master dans l'art de parvenir à se poser en victime quoique soient les faits réels, de ceux qui auraient un bel avenir dans un étude d'avocat pour savoir détourner un jury du droit chemin par une plaidoirie machiavélique.
Ces personnes-là me donnent des envies de meurtres, spécialement lorsque leur comportement arrive à me garder éveillée à 07h du matin.
Je n'ai pas réellement de conclusion ou de thème à développer dans cet article car j'aurais probablement du mal à garder mon tempéramment, mais j'ai vraiment envie de vous rappeler deux choses très importantes :
1) Les choses sont rarement gratuites. Les gens récoltent ce qu'ils ont semés.
2) Parfois vous voyez un concert, le trouvez génial, mais n'oubliez pas qu'en backstage, c'est un tout autre monde.
Your Devoted
Factory Girl